Ah le son mélodieux de l'angélus à l'heure de la fin de l'ouvrage...

Les travailleurs se redressent et dans un élan, un seul, traversent la forêt et la petite grotte.
Ils s'agitent, ils frétillent. Le produit du labeur va tout d'un coup sortir, et remplir l'air encore chaud de leurs râles d'efforts...
Vive les joncs tendus et les lunes d'été, qui blanches et charnues, nous offrent cette extase.
Vive Zato le grand, poète des ébats, qui de ses mains expertes sait nous faire vibrer.

Aaahhh...Que j'aime le son des corps le soir au fond des bois.
Bizut, cette complainte est tienne. Et la main de ma soeur ne sera pas la mienne...