Et c'est pas des cracks, on peux ressentir les âmes en peine qui déambulent entre deux mondes

Se promenant dans les longues coursives où sont alignées ce qui avaient dû être des chambres de torture.
Le squelette de béton dont vous avez aperçu quelques clichés n'est pas grand chose tant qu'on ne l'a pas croisé.
C'est à vous glacer le sang pour qui n'est pas préparé.
Avec Fanou, la préparation a été un exorcisme digne d'un film d'horreur.
Mais bon, on est des costauds et même pas eu trop peur.
Pas toujours rassuré, surtout dans les sous sol où les ténèbres règnent en maître.
En essayant de marcher là où nos frontales voulaient bien accrocher de leurs lumières quelques choses dans la noirceur.
Sous nos pas, un impression de marcher sur un os par ci par là.
Et bien content au final de sortir de tout ça, avec dans nos souvenirs, d'avoir vécu une aventure d'outre tombe.
Hein Fanou, a refaire