Vous êtes des mauvaises langues!
Moi, j'imagine déjà Bernard, à plat ventre, genoux et coude posés au sol dans les courbes à hautes vitesses faisant l'intérieur à Marquez, Quartararo et compagnie.
Imaginez un peu son énergie cinétique en bout de ligne droite !
Imaginez les turbulences de notre gladiateur à 300km/h. Qui oserait passer sa roue avant devant son Aprilia rugissante.
Avec sa force herculiéene dont lui seul à le secret, nul doute qu'il est capable de pousser un à un ces adversaires dans le bac à sable.