Coucou Isaline
J'ai fort pensé à toi tant que nous ne savions pas à quel
fesse sein
nous vouer concernant l'état de Polo. L'attente a du être affreuse et l'angoisse ne t'a probablement pas quitté tant que tu n'as pas pu l'approcher.
Les nouvelles que tu as la gentillesse de nous faire parvenir me font penser que cela pourra rentrer tout doucement dans l'ordre maintenant.
En tout cas, une chose est certaine : c'est que je te préférais loin de nous (alors que je regrettai tant ton absence auprès de Polo) avec ton pitchounou plutôt que de m'imaginer quel carnage cela aurait pu être si tu avais été là.
Les trognes étaient lourdes et les tronches bien amères samedi tandis que nous pensions ton Polo déjà sur les routes vers sa p'tite famille.
Mais à présent, on frétille
tous à l'idée de pouvoir vous serrer contre nous (faudra attendre un peu, c'est sûr ...
) mais promis ... on ne lui mettra pas de tape amicale sur le popotin
.
Je vous embrasse fort fort fort tous les 3